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Mes nuits sont plus belles que vos jours

8 août 2007

48 heures

48 heures qu'on n'a pas fait l'amour ! Même pas la possibilité de le toucher, de le sentir...

Dans 24 heures, nous nous retrouverons.

Quel supplice !

Je suis complètement dépendante de notre sexualité, mais de notre amour surtout. C'est indéniable !

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24 juillet 2007

Dans le reflet de la fenêtre

Nous avons fait l'amour et j'ai joui tant de fois. A chaque nouvelle position tu trouvais semble-t-il facilement la clef qui ouvre la porte du lâcher prise et de l'orgasme. Je me suis donc laissée guider par toi, totalement offerte.

Tu choisissais les positions les unes après les autres et en silence, je prenais place. Tes envies devenaient miennes.

Alors tu t'es assis au bord du lit et j'ai ouvert mes jambes pour laisser ton sexe si dur entrer dans en moi encore une fois. Mon corps entier ne répondait qu'à tes va-et-vient. J'aimais tant ce renoncement à maîtriser quoique ce soit. J'aurai tellement aimé que cet instant soit éternité.
La fenêtre était ouverte, les nuits d'été laissent les appartements silencieux de la ville ouverts les uns aux autres. Mon regard divaguait dans cette quiétude de la nuit. Quand tu m'as dit au creux de mon oreille :"regarde le reflet de la fenêtre". Et là j'ai levé la tête et ai vu nos deux corps enlacés, tes bras me protéger, ta bouche m'embrasser, ton regard amoureux sur la courbe de mes seins parfaitement dessinée, et cette cambrure que tu souhaites si souvent admirer et mon regard plein d'amour se laissant emporter par un orgasme que je saurait garder au fond de moi comme une photo de nous lors de cette belle nuit d'été où nos corps se sont un instant regardés.

3 juillet 2007

Oh my God !

Nous en parlions souvent. Parmi nos fantasmes nous avions envie d’utiliser un jouet. God ou vibro n’avions pas d’idée arrêtée. Mettre un objet dans mon vagin nous excitait rien que d’y penser. Alors nous en parlions souvent, d’aller en chercher un à Paname, dans un magasin.

On en parlait tellement que je craignais que cela n’arrive jamais. Devait-il rester à l’état de fantasme ?

Il y a quelques semaines, nous avions décidé d’aller nous balader dans la capitale. Il faisait beau, c’était le printemps. Nous avons pris le métro au hasard et avons atterri rue Saint-Denis, un samedi midi. Les rues étaient vivantes joyeuses de familles qui se retrouvaient à la sortie de l’école, de mamies qui tiraient leur charrette. Ca me faisait plaisir et associais cela au plaisir d’avancer sereinement, la main de mon homme dans la mienne, vers un sex-shop qui nous fera découvrir de nombreuses formes d’objets et plaisir.

Nous regardions les devantures de peep-show aussi sérieusement que celle du roi de l’informatique et à la première enseigne de sex-shop nous nous sommes engouffrés.

Passé le rideau en velours bleu électrique, nous nous sommes retrouvés dans une petite gitoune accueillante. Une ancienne pute sur le déclin nous a offert son plus beau sourire, plein de tendresse. Avec elle, je n’ai pas senti que le sexe pouvait être sale. Elle semblait avoir sa dignité. Elle nous a présenté rapidement les différentes catégories d’objets. Les gods plus ou mois longs, plus ou moins ergonomiques.Les vibros à plusieurs vitesse. Des rigolos et des accesoires sado-maso. Nous lui demandions, à quoi servaient certains objets : elle nous répondait en bonne professionnelle !

Mais rapidement nous avons choisi un vibro rose bonbon avec de belles perles nacrées à l’intérieur. Il  hésite entre jouet provenant de Taïwan et élégance de la queue racée. Un dauphin est là pour s’occuper de mon clitoris. J’ai hâte de l’essayer.

Nous rentrons à la maison, nos mains toujours enlacées. Je suis heureuse telle un jour de Noël !

3 juillet 2007

Rien qu'une heure

C'est fou ce qu'on peut faire en moins d'une heure.

En moins d'une heure j'apprends où te caresser pour te faire bander bien dur.
Ton sexe raide et musclé me donne envie de le sucer. Alors je le mets dans ma bouche pendant que tu admires mon sexe.

Ton regard émerveillé sur moi me fait mouiller .. et quand tu mets un doigt dans mon petit trou, comme tu dis je commence sérieusement à perdre pied.

Et sachant que je ne saurai plus résister, si tant soit peu que je l'aurais souhaité, tu sors mon jouet qui se retrouve si facilement dans mon vagin. Très rapidement je me sens prise de toutes parts : ton doigt dans mon anus, le god dans mon vagin avec son dauphin qui me titille le clito .. ça y est mon premier orgasme est assuré ! Puis un deuxième dans la foulée. Oui avec toi je jouis plusieurs fois affilée. C'est comme un bouquet final d'un merveilleux feu d'artifice qui se manifesterait tant que la porte est ouverte. Et la porte, je la laisse ouverte pour toi.

Vite, je n'en peux plus. Je veux sentir ton sexe en moi. Tu me prends par derrière. Je me redresse pour bien te sentir me pénétrer et parfois m'allonge ne gérant plus les deux orgasmes que tu m'as offerts dans cette position cette nuit-là.

Mon corps est repu mais il en veut encore. Je me retourne et t'offre la vue sur mes jambes écartées. Je sens entre mes jambes que je mouille de plaisir sans pouvoir le maîtriser. Nous nous arrêtons pour en griller un petit et les fumées à peines estompées, je m'allonge sur le dos et relève mes jambes.

Tu arrives sur moi,ton sexe toujours au garde-à-vous et me pénètre, nos regards l'un dans l'autre. Surprise, je jouis de suite. J'aime cet amour que nous partageons. C'est fou comme je t'aime, mon amour.

Mon vagin enrobe ton sexe comme une vague. Je sens ce soir que je te ferai jouir en moi ainsi. Je laisse donc mon corps s'abandonner encore une fois à l'orgasme. Il sera plus intense encore parce que cette fois-ci partagé. Le dernier coup que tu me donneras nous fera monter ensemble au septième ciel.

Nous nous allongeons, main dans la main, entre vie et amour. Je dois regarder l'horloge au dessus de ma tête. J'ai connu ce soir encore une fois avec toi, l'éternité en moins d'une heure.   

1 juillet 2007

Quand c'est fini

Je n’aime pas quand c’est fini, quand après un orgasme foudroyant et simultané, après cet instant magique où l’on retourne progressivement sur terre tout en retrouvant son souffle, mon homme se retire progressivement.

Je sens son sexe s’échapper de mon antre puis le gland  caresser une dernière fois mes lèvres et enfin le vide irrémédiablement s’engouffrer.

Je n’aime pas quand c’est fini.

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30 juin 2007

Mes nuits sont plus belles que vos jours

Mes nuits sont plus belles que vos jours parce que de mes nuits sont chacune un voyage dans le pays du désir, du plaisir, de la jouissance, de l’amour, du bonheur.

Mes nuits sont plus belles que vos jours parce qu’en moyenne mes compatriotes ne font l’amour que tous les trois jours alors que nous, nous faisons l’amour chaque jour.

Mes nuits sont plus belles que vos jours, ce n’est pas une provocation, ne vous y méprenez pas, c’est une expérience que j’ai envie de vivre, parce que j’aime écrire et que j’aime l’amour que je vis avec mon homme alors je veux voir si ces deux ingrédients se marient harmonieusement.

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Mes nuits sont plus belles que vos jours
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